Contrairement aux idées reçues, l’épidémie Mpox chez les gays n’est pas terminée (Mpox était appelée « Monkeypox » ou « variole du singe » au début de l’épidémie). Début août, Santé publique France alertait sur un foyer au Portugal. A priori, le virus continue de se disséminer dans la communauté gay à bas bruit, et le vaccin contre la variole pourrait ne pas être aussi efficace que cela contre le virus Mpox chez tout le monde puisque des personnes vaccinées ont malgré tout été contaminées. Nul ne sait si à la faveur d’un gros évènement fetish-sexuel, l’épidémie ne pourrait pas repartir. Il convient donc d’être vigilant. Pour rappel, les symptômes sont des boutons sur le sexe ou l’anus, le visage, les mains, les membres, le buste, … de la fièvre, des ganglions, des maux de gorge et maux de tête, des douleurs musculaires (ou un seul de ces symptômes). En cas de symptôme, isolez-vous et contacter un médecin ou mieux : un Cegidd.
Source : sexosafe.fr